Extrait choisi et simplifié du livre « Un cours en miracles ». C’est véritable un outil d’enseignements spirituels fascinant. Ce livre m’accompagne depuis plus de 4 années. J’applique la voie qu’il propose dans ma vie quotidienne. En espérant qu’il vous fasse autant de bien qu’à moi.

Art. 12

Les Lois de l’univers ne permettent pas de contradiction. Ce qui tient de l’univers tient pour nous. Si nous croyons que nous sommes absents de l’univers, nous croirons qu’Il est absent de nous.

L’infini n’a pas de signification sans nous, et nous n’avons pas de signification sans Lui. L’univers et sa création, n’ont pas de fin, car nous sommes l’univers. L’univers n’est pas incomplet, et Il n’est pas sans enfant. Ne Lui nions pas Sa Paternité, car notre indésir d’accepter Sa filialité nous a nié la nôtre. Reconnaissant pour nous-mêmes, notre besoin de guérir, Voudrions-nous apporter  autre chose à la Filialité ? Car en cela, réside le commencement du retour à la connaissance ; Le fondement sur lequel l’Esprit nous aidera à rebâtir le système de pensée que nous partageons avec Lui. Si la maladie est séparation, la décision de guérir et d’être guéri est le premier pas vers la re-connaissance de ce que nous voulons véritablement. Chaque attaque est un pas qui nous en éloigne et chaque pensée de guérison nous en rapproche. Ainsi la guérison devient une leçon de compréhension, et plus nous nous y exerçons, meilleur nous devenons comme enseignant et comme apprenant. Si nous avons nié la vérité, pourrions-nous avoir meilleurs témoins de sa réalité que ceux qu’elle a guéris ? Soyons sûr de nous compter parmi eux, car dans notre désir de nous joindre à eux, notre guérison est accomplie. Chaque miracle que nous accomplissons nous parle de la Paternité de l’univers. Chaque pensée de guérison que nous acceptons, soit de notre frère ou dans notre propre esprit, nous enseigne que nous faisons parties de la filialité.

La guérison est signe que nous voulons nous rendre entier. Et ce désir nous ouvre l’oreille à la Voix de l’Esprit. Il nous permettra d’aller bien au-delà de la guérison que nous voudrions entreprendre. Et pourtant, l’invitation doit venir de nous, car nous avons sûrement appris que celui dont nous faisons notre invité demeurera avec nous. A un hôte qui ne lui fait pas bon accueil, l’Esprit ne peut parler parce qu’Il ne sera pas entendu. L’Eternel Invité restera, mais Sa Voix s’affaiblit en compagnie étrangère. Il a besoin de notre protection, seulement parce que notre sollicitude est signe que nous Le voulons. Pensons comme Lui ne serait-ce qu’un tout petit peu, et la petite étincelle devient torrent de lumière qui remplit notre esprit de sorte qu’Il devient notre seul invité. Chaque fois que nous demandons à l’égo d’entrer, nous diminuons Sa bienvenue. Il restera, mais nous nous sommes alliés contre Lui. Quel que soit le voyage que nous choisissons de faire, Il ira avec nous et attendra. Nous pouvons en toute sécurité nous fier à Sa patience, car Il ne peut pas quitter une partie de la filialité. Mais nous avons besoin de bien plus que de patience. Tant que nous ne connaîtrons pas notre fonction, et tant que nous ne la remplirons pas, nous ne pourrons jamais trouver de repos, car en cela seulement notre volonté et celle de Notre Créateur peuvent se joindre entièrement. L’avoir Lui, c’est être comme Lui, et Il S’est donné Lui-même à nous. Nous qui sommes créateur comme Lui, Sa fonction est devenue la nôtre avec Son don. Invitons cette connaissance à revenir dans notre esprit, et ne laissons rien entrer qui l’obscurcisse. Offrons-Lui ne serait-ce qu’une petite place et Il éclairera si bien que nous la laisserons augmenter avec joie. Et par cette augmentation., nous commencerons à nous souvenir de la création.

A suivre…